Voici la suite de notre histoire, a tenir loin des regards non avertis:
J'étais à peu près sûr qu'il avait étiré mon vagin grand ouvert. Je pensais que mon mari ne serait jamais en mesure de le remplir comme je l'aime maintenant. J'avais raison. Quand Paul a joui, j'ai eu l'impression qu'un tuyau s'était ouvert à l'intérieur de moi. J'avais pris chaque centimètre carré.
Paul s'est levé, s'est habillé et est parti (comme la plupart des hommes le font quand ils ont fini). Il m'a fallu quelques minutes pour reprendre mon souffle mais quand je l'ai fait, je me suis retourné sur le lit vers la caméra, j'ai pointé mon vagin béant bien baisé sur elle, écarta mes jambes très largement et frotta mon doigt dans le sperme de Paul sur mon clitoris.
J'ai dit : « Mon chéri, regarde le vagin rempli de sperme de ta femme putain. Cela ne vous donne-t-il pas faim? Vous pourrez manger tout cela plus tard. Je ramène ton souper à la maison. "
J'ai rassemblé mes affaires, jeté ma robe en voiture et suis rentré chez moi. J'étais sûr de mettre la culotte que j'avais apportée dans mon sac à main pour contenir tout le beau sperme pour que mon mari le mange plus tard.
Quand j'ai ouvert la porte, mon mari sautait littéralement de haut en bas. Je lui ai demandé s'il m'avait vu jouer et il a dit oui. Il était tellement excité qu'il pouvait mourir.
Il a dit qu'il avait tellement besoin de la minuscule cage de chasteté parce que son pénis avait essayé de devenir dur toute la nuit. Je l'ai fait se déshabiller et se lever sur le lit dans sa cage. Puis j'ai attaché ses mains et ses pieds au montant du lit. Je lui ai dit que c'était pour qu'il ne puisse pas trouver la cachette des clés. Je suis allé chercher la clé et alors qu'il baissait les yeux, impuissant, je l'ai déverrouillée et enlevé sa cage.
Son pénis est devenu si dur qu'il est devenu bleu. Je l'ai légèrement frotté avec le dos de ma main et il a palpité et il a gémi. Alors qu'il me suppliait de m'asseoir dessus, j'ai dit : « Tout d'abord, chéri, tu as un vilain vagin à nettoyer. J'ai enlevé ma culotte, jeté ma jambe sur son visage, attrapé ses cheveux, attiré sa bouche dans mon vagin rempli de sperme béant et dit : « MANGE !
Pendant qu'il travaillait sa langue en moi, léchant toute la glu j’ai joui à plusieurs reprises. J'ai dit des choses comme : « Tu aimes le vagin de ta nouvelle putain de femme toute étirée et pleine de sperme noir, bébé ?» Il a juste gémi et m'a mangé plus fort. Après avoir fini de venir et qu'il m'avait bien nettoyé, je me suis éloigné de son visage. Le pénis de mon mari était lancinant et plus dur que je ne l’ai jamais vu.
Il me suppliait de glisser mon vagin humide et allongée sur son pénis. Je lui ai dit que si j'acceptais de le baiser, il ferait mieux de ne pas jouir tout de suite comme une poule mouillée. Alors que je baissais lentement mon vagin humide étiré sur son pénis palpitant. Je pouvais à peine le sentir. Je savais qu'un faux mouvement le ferait exploser alors j'ai rapidement sauté hors de lui.
Il a crié non, s'il te plaît. J'ai dit que je lui ferais un marché. S'il pouvait prendre un travail
suite et fin demain....
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